Au seuil des vivant.e.s
Du crépuscule des ombres se tiennent des moments, fragments spectrales en errances, orphelins de toute temporalité, ni début ni fin, mais des devenirs qui s’entrelacent, s’hybrident, s’étirent en lignes d’horizons immanentes d’où résonne une question : quelles attentions à celleux qui nous précédent, celleux qui nous survivront, à nous même.